(félicitations à ceux qui auront le courage de lire jusqu'au bout)
Elle. Ses journées se résument à l'université, les bouquins et à l'écriture. Rien d'extraordinaire. Originaire d'une petite famille bourgeoise dans le sud de la France, Elle a été adoptée à l'age de 3 ans et ne connais pas l'identité de ses parents. Elle possède des qualités comme des défauts, qu'elle n'osera jamais dire à personne. Elle ne supporte pas le monde dans lequel elle vis. En observant le comportement des gens autour d'elle, Elle pense que rien n'a de sens. Pourquoi doit on se lever le matin ? Pourquoi meurs-t-on vieux ? Pourquoi suis-je içi, en compagnie de ces gens qui m' insupportent, avec leurs manières, leur langage, et leur foutu mode vestimentaire ? Elle n'est pas du genre à avoir les pieds sur terre. Rêveuse, croyante, Elle écris. Tout. Ses pensées, ses sentiments, ses envies, stockées dans un petit carnet.
Le 18 mars.
Si seulement les hommes étaient si faciles à comprendre. Sans se mentir, les femmes sont tout autant compliquées. Aujourd'hui, il m'as juste lancé un regard furtif, et ses petits yeux noisette pétillaient. Mon dieu s'il vous plaît faites en sorte que ce regard soit à jamais gravé dans ma mémoire. Est-ce possible d'être autant dépendant d'une personne, juste en l'observant ? Pourtant j'ai l'impression de le connaître par cœur.. Mais moi qui suis si timide, fragile, jamais je n'oserais aller lui dire tous ce que je ressens. J'aimerais savoir s'il pense à moi parfois. C'est quand même dur à supporter, cette instabilité. Si je pouvais, m'évader.. Sur une île, pas forcément la plus jolie ni la plus grande, une île qui me plairait tout simplement.
Elle s’endormit tout doucement .
Au réveil, Elle était la, sur une plage. Le peu de vêtements qu'Elle portait étaient mouillés par l'eau salée de la mer. Elle jeta un coup d’œil, enleva son tee shirt et l'essora. De toute façon, personne ne semble être içi, et elle se rhabilla ni vue ni connue. Il faisait à peine frais, elle marcha pieds nus dans l'eau tout en profitant des rayons du soleil, tout semblait parfait. Jusqu'au moment ou un cri strident résonna depuis derrière elle. Craintive, elle se retourna. Quelque chose courait vers Elle, mais elle n'arrivait pas à distinguer qui était-ce, et cette personne ne semblait pas lui vouloir du bien, vu les cris qu'elle poussait de plus en plus fort. Elle se mit à courir, vite, de toutes ses forces. Elle trébucha, tomba, et tout en se relevant Elle se retrouva nez à nez avec un mort vivant, un zombie. Terrifiée, elle n'arrivait plus à bouger. Le zombie la frappa, fort. Elle s'écroula au sol de douleur. Elle était blessée, ça saignait. Elle cria. Le zombie réapparu au dessus de sa tête, et au moment qu'il avait choisir pour déchiqueter sa proie, un silex taillé en pointe transperça sa tête de mort vivant, à l'arrière du crâne. Le zombie tomba raide. Elle se releva avec peine et tomba nez à nez avec Lui.
«- Enlève ton tee shirt et déchire le.
- Pardon ?!
- Dépêche toi.
- Espèce de gros pervers ! »
Son regard s'assombrit. Il l'attrapa par la mâchoire, doucement mais sûrement, et lui répéta en la regardant dans les yeux :
« Écoutes moi bien. Içi t'es à Chernarus, une île abandonnée infestée de zombies carnivores, et de quelques immigrés comme toi et moi, pas forcements commodes non plus. Parfois il faut marcher à travers une dizaine de villages avant de trouver de quoi manger et boire. L'ïle de rêve où tu voudrais bien passer tes vacances c'est loin d'être içi. Alors je te préviens : il va pas falloir jouer à la princesse en détresse, car tu vas pas survivre longtemps. T'es blessée et tu saignes. Maintenant enlève ton tee shirt, déchire le et applique le sur ta plaie sans broncher. »
Elle l'écoutait sans bouger. Comment être concentrée quand un homme aussisexy autoritaire la regardait dans les yeux comme s'il pouvait la détruire juste en resserrant à peine sa main.
Sans hésiter, elle s’exécuta, banda sa plaie avec un minimum de gène tout de même.
« Bien, allez, relève toi la colombienne »
affaire à suivre...
Elle. Ses journées se résument à l'université, les bouquins et à l'écriture. Rien d'extraordinaire. Originaire d'une petite famille bourgeoise dans le sud de la France, Elle a été adoptée à l'age de 3 ans et ne connais pas l'identité de ses parents. Elle possède des qualités comme des défauts, qu'elle n'osera jamais dire à personne. Elle ne supporte pas le monde dans lequel elle vis. En observant le comportement des gens autour d'elle, Elle pense que rien n'a de sens. Pourquoi doit on se lever le matin ? Pourquoi meurs-t-on vieux ? Pourquoi suis-je içi, en compagnie de ces gens qui m' insupportent, avec leurs manières, leur langage, et leur foutu mode vestimentaire ? Elle n'est pas du genre à avoir les pieds sur terre. Rêveuse, croyante, Elle écris. Tout. Ses pensées, ses sentiments, ses envies, stockées dans un petit carnet.
Le 18 mars.
Si seulement les hommes étaient si faciles à comprendre. Sans se mentir, les femmes sont tout autant compliquées. Aujourd'hui, il m'as juste lancé un regard furtif, et ses petits yeux noisette pétillaient. Mon dieu s'il vous plaît faites en sorte que ce regard soit à jamais gravé dans ma mémoire. Est-ce possible d'être autant dépendant d'une personne, juste en l'observant ? Pourtant j'ai l'impression de le connaître par cœur.. Mais moi qui suis si timide, fragile, jamais je n'oserais aller lui dire tous ce que je ressens. J'aimerais savoir s'il pense à moi parfois. C'est quand même dur à supporter, cette instabilité. Si je pouvais, m'évader.. Sur une île, pas forcément la plus jolie ni la plus grande, une île qui me plairait tout simplement.
Elle s’endormit tout doucement .
Au réveil, Elle était la, sur une plage. Le peu de vêtements qu'Elle portait étaient mouillés par l'eau salée de la mer. Elle jeta un coup d’œil, enleva son tee shirt et l'essora. De toute façon, personne ne semble être içi, et elle se rhabilla ni vue ni connue. Il faisait à peine frais, elle marcha pieds nus dans l'eau tout en profitant des rayons du soleil, tout semblait parfait. Jusqu'au moment ou un cri strident résonna depuis derrière elle. Craintive, elle se retourna. Quelque chose courait vers Elle, mais elle n'arrivait pas à distinguer qui était-ce, et cette personne ne semblait pas lui vouloir du bien, vu les cris qu'elle poussait de plus en plus fort. Elle se mit à courir, vite, de toutes ses forces. Elle trébucha, tomba, et tout en se relevant Elle se retrouva nez à nez avec un mort vivant, un zombie. Terrifiée, elle n'arrivait plus à bouger. Le zombie la frappa, fort. Elle s'écroula au sol de douleur. Elle était blessée, ça saignait. Elle cria. Le zombie réapparu au dessus de sa tête, et au moment qu'il avait choisir pour déchiqueter sa proie, un silex taillé en pointe transperça sa tête de mort vivant, à l'arrière du crâne. Le zombie tomba raide. Elle se releva avec peine et tomba nez à nez avec Lui.
«- Enlève ton tee shirt et déchire le.
- Pardon ?!
- Dépêche toi.
- Espèce de gros pervers ! »
Son regard s'assombrit. Il l'attrapa par la mâchoire, doucement mais sûrement, et lui répéta en la regardant dans les yeux :
« Écoutes moi bien. Içi t'es à Chernarus, une île abandonnée infestée de zombies carnivores, et de quelques immigrés comme toi et moi, pas forcements commodes non plus. Parfois il faut marcher à travers une dizaine de villages avant de trouver de quoi manger et boire. L'ïle de rêve où tu voudrais bien passer tes vacances c'est loin d'être içi. Alors je te préviens : il va pas falloir jouer à la princesse en détresse, car tu vas pas survivre longtemps. T'es blessée et tu saignes. Maintenant enlève ton tee shirt, déchire le et applique le sur ta plaie sans broncher. »
Elle l'écoutait sans bouger. Comment être concentrée quand un homme aussi
Sans hésiter, elle s’exécuta, banda sa plaie avec un minimum de gène tout de même.
« Bien, allez, relève toi la colombienne »
affaire à suivre...
